Pas de vrai billet aujourd'hui, pour cause d'esprit embrumé. À peine un coup d'œil ici et là, sur internet. J'ai tout juste appris, grâce à Bakchich.info, que Nicolas Sarkozy et sa cour auraient «frolé la catastrophe aérienne. Un réacteur de l’airbus A319 présidentiel a pris feu…»
Et là, je sursaute, parce que j'ai beau être abruti en ce moment, je me souviens tout de même qu'un avion peut parfaitement décoller ou atterrir avec trois, voire deux réacteurs seulement (et même un seul à la limite). M. Sarkozy ne risquait pas grand-chose —sinon le contretemps imposé par des règles d'élémentaire prudence.
Outre les récits de mon beau-père, qui était pilote de ligne, je me rappelle avoir lu un texte littéraire parlant joliment de ça, il y a quelque temps, voyez par là, c'est un billet qui datait d'octobre 2007…
Et là, je sursaute, parce que j'ai beau être abruti en ce moment, je me souviens tout de même qu'un avion peut parfaitement décoller ou atterrir avec trois, voire deux réacteurs seulement (et même un seul à la limite). M. Sarkozy ne risquait pas grand-chose —sinon le contretemps imposé par des règles d'élémentaire prudence.
Outre les récits de mon beau-père, qui était pilote de ligne, je me rappelle avoir lu un texte littéraire parlant joliment de ça, il y a quelque temps, voyez par là, c'est un billet qui datait d'octobre 2007…
L'A319 est un bi-réacteur. Quand il en manque un, ça fait la moitié de la puissance en moins. En principe, ça suffit pour un atterrissage proche, sauf si ça se produit au décollage.
RépondreSupprimerJe lis chez Sarkofrance que ça s'est produit sur la piste, avant le décollage.
RépondreSupprimerNicolas, bi-réacteur, effectivement ça doit manquer de confort de perdre un réacteur au décollage!
RépondreSupprimerTiens je vais aller lire le billet de Sarkofrance et le rajouter en lien.
Avant le décollage on peut s'écraser?
RépondreSupprimerDingue ça!
Y'a plus qu'à racheter un n'avion.
RépondreSupprimerBah, ça fait quelque chose à raconter sur le petit nicolas...
RépondreSupprimerFerocias: parfaitement! C'est un phénomène bien connu des mécaniciens de l'aéronautique, on l'appelle "arthrite du train d'atterrissage"… Les roues lâchent brusquement, le train rentre tout seul, l'avion s'écrase, même au parking.
RépondreSupprimerHomer, non, juste un réacteur!
Mlle Ciguë, on ne peut rien vous cacher! :))
Le lien n'est pas ok !
RépondreSupprimerLe voilà :
http://hortensia.blog.lemonde.fr/2007/10/05/perdre-son-pied-en-plein-vol/
Bonne continuation
Hortensia, c'est corrigé… Au moment de publier, j'ai eu du mal à retrouver la bonne adresse…
RépondreSupprimerBon, tardivement peut-être, mais j'ai enfin réondu à ton étiquetage sur l'Europe.
RépondreSupprimerWouaip ! Suis une fille super intelligente ! ;-)
RépondreSupprimerBen, ce n'est pas pour ne rien dire, c'est pour nous apprendre une mauvaise nouvelle (?!)
RépondreSupprimerle-gout-des-autres, j'arrive !
RépondreSupprimerMlle Ciguë, et oui! :))
Circé, heu, hem… Ouais, une mauvaise nouvelle pour la fiabilité de notre aéronautique.