La semaine de ce blog a débuté avec la votation en Suisse, et c'est encore avec une information qui nous vient de chez nos voisins que je vais la conclure. En effet, j'apprends à la lecture du Temps, que le patron de La Poste suisse médite d'introduire une petite révolution dans la taxation du service de base. Il s'agirait de faire payer l'acheminement du courrier deux fois: par l'expéditeur et par le destinataire. Pour ce dernier, cela pourrait prendre la forme d'une redevance annuelle, sur le modèle de la télévision…
Vous me direz: ça se passe en Suisse, c'est pas chez nous que des énormités pareilles peuvent arriver, alors on s'en fiche. Erreur! Car si vous allez lire ce petit article, comme je vous y invite, vous découvrirez que selon M. Kunz, patron de La Poste helvétique, c'est «une idée qui circule dans la tête de plusieurs patrons postaux en Europe»…
Vous y êtes? Il faudrait peut-être nous inquiéter de savoir ce qui circule sous le crâne du notre, patron… En l'occurrence, chez nous, c'est Nicolas Sarkozy. Si, si! Le président est le grand patron qui décide de tout, tout, tout. Par exemple, je ne serais pas étonné qu'il donne son aval au menu de la cantine scolaire du village.
Oh! bien entendu, dans un premier temps, mettons jusqu'à la prochaine élection présidentielle, si la question venait à être posée, on nous répondra qu'il n'en est pas question. Chez nous, le patron est contre les taxes et pour un véritable service public postal, donc ce genre d'idée ne passera jamais la frontière. Je suis rassuré à l'avance, surtout en sachant que le président occupe ses soirées à recompter une à une les voix du référendum d'insolence populaire contre la privatisation. Il ne nous fera pas ce coup là, avant l'élection de 2012. Après?
P-S. Pour bien achever cette semaine, ne pas oublier le billet traditionnel de Sarkofrance. Si vous n'avez pas encore découvert Le Roman d'Arnaud, αяf vous donnera toutes les clefs pour le faire avant la fin de l'aventure… Et que diriez vous d'un petit tour vers Une vie d'ange, chez Le-goût-des-autres?
Vous me direz: ça se passe en Suisse, c'est pas chez nous que des énormités pareilles peuvent arriver, alors on s'en fiche. Erreur! Car si vous allez lire ce petit article, comme je vous y invite, vous découvrirez que selon M. Kunz, patron de La Poste helvétique, c'est «une idée qui circule dans la tête de plusieurs patrons postaux en Europe»…
Vous y êtes? Il faudrait peut-être nous inquiéter de savoir ce qui circule sous le crâne du notre, patron… En l'occurrence, chez nous, c'est Nicolas Sarkozy. Si, si! Le président est le grand patron qui décide de tout, tout, tout. Par exemple, je ne serais pas étonné qu'il donne son aval au menu de la cantine scolaire du village.
Oh! bien entendu, dans un premier temps, mettons jusqu'à la prochaine élection présidentielle, si la question venait à être posée, on nous répondra qu'il n'en est pas question. Chez nous, le patron est contre les taxes et pour un véritable service public postal, donc ce genre d'idée ne passera jamais la frontière. Je suis rassuré à l'avance, surtout en sachant que le président occupe ses soirées à recompter une à une les voix du référendum d'insolence populaire contre la privatisation. Il ne nous fera pas ce coup là, avant l'élection de 2012. Après?
P-S. Pour bien achever cette semaine, ne pas oublier le billet traditionnel de Sarkofrance. Si vous n'avez pas encore découvert Le Roman d'Arnaud, αяf vous donnera toutes les clefs pour le faire avant la fin de l'aventure… Et que diriez vous d'un petit tour vers Une vie d'ange, chez Le-goût-des-autres?
Ils ont, sur tout, des idées. Mais rarement de bonnes, en fait !
RépondreSupprimerTiens ça me rappelle que récemment, un ministre a été surpris à ne pas même connaitre le prix du timbre !
Sinon, pour info, en Belgique, si tu vas au guichet pour acheter un timbre, ce n'est pas le même prix unitaire que pour dix timbres ! Et oui, c'est possible d'obliger à consommer plus !!!
:-))
Pourquoi joues-tu les coucous de mauvaise augure? Je n'aime pas trop ton "après 2012"...
RépondreSupprimerCultivons l'espoir d'un lointain meilleur.
M. Poireau,
RépondreSupprimerj'ai toujours pensé que j'aurais dû faire ministre (enfin, surtout occuper le logement et la voiture de fonction). J'avais des aptitudes, la preuve: je ne sais plus le prix d'un timbre à l'unité (je poste en général plusieurs choses à la fois)…
Epamin',
que non! Pas de mauvais augure dans mon sillage! C'est de l'exorcisme ; une autre époque… Comme c'est aussi plus moderne, l'efficacité est peut-être meilleure?
Juste un petit coucou de mon chalet, avec mon petit bracelet "je reste en Suisse" pour l'instant!
RépondreSupprimerBonjour à vous,
RépondreSupprimerNous nous sommes permis de citer votre blog sur notre dernier article.
http://lavenircestmaintenant.skyrock.com/
Nous le retirerons immédiatement si cela vous posez un problème.
Rachid (île de La Réunion)
MERCI² car je viens de découvrir mes esperluettes, là, dans la marge.
RépondreSupprimerJe suis touchée, vraiment!
Macao,
RépondreSupprimerne te sauve pas, ça ne servirait à rien!
Rachid,
bonjour, j'ai vu. Chaque point de vue est estimable, pourquoi devriez-vous vous abstenir de signaler un désaccord? C'est votre droit, donc laissez.
Epamin',
ça fait longtemps que j'aurais dû te mettre dans la blogroll! Il y a aussi pas mal d'autres blogs que j'aimerais y mettre, mais je n'y pense qu'en lisant leur billet, souvent à un moment incompatible avec le bricolage bloguesque. Et ma blogroll est devenue brouillonne, il faudrait que je la réorganise un peu, mais je recule sans cesse devant le boulot…
Epamin,
RépondreSupprimerj'ajoute que ton dernier billet, lu hier soir avant d'aller dormir, m'a tellement enchanté, que je me suis fait un pense-bête pour y retourner ce matin et faire le nécessaire…
J'ai intérêt à trouver la réponse au rébus pour te remercier de tant de gentillesse à mon égard...
RépondreSupprimerMerci tout plein, mon cher Coucou!
Payer pour recevoir son courrier !!!! vive les mails ! :)
RépondreSupprimerps : merci pour le lien vers Arnaud.
Epamin',
RépondreSupprimerpas la peine de remercier, c'était justifié et sans effort, en fait: juste trouver le bon moment.
αяf,
RépondreSupprimerle problème, c'est qu'il s'agira d'une redevance… comment y échapper, le jour où cette brillante idée s'imposera chez nous aussi?
:-)))
ça parle de Suisse, alors je viens faire un coucou et je repars, bonne journée!!
RépondreSupprimerJulien,
RépondreSupprimertu es bienvenu quand on parle de nous aussi!