«Monsieur le président, selon des informations qui s'accumulent depuis le 21 juin, votre ministre E. W. et vous-même auriez reçu en 2006 et 2007 des enveloppes de billets destinés à financer illégalement votre campagne électorale… Qu'avez-vous à dire aux Français à ce sujet?
—C'est pas la peine de vous mettre à ma gauche pour parler de ça… Écoutez, franch…, franchement c'est ridicule! Pas vous, hein, je me permettrais pas, hein! Je vous respecte, M. Japedoux… Écoutez, soit y a des éléments, donnez-les nous… Pffff… C'est grotesque ! Voilà ma réponse, qu'est-ce que vous voulez que je vous dise? Alors, raisonnement, là: pour mon financement, avec Éric, on aurait accepté des enveloppes d'une mamie que sa fille elle veut la mettre en tutelle, et ça a donné cette calomnie? Enfin, respectons le déchirement des familles, monsieur, s'il vous plaît. Qui peut croire à une fable pareille? Puis si vous avez des enregistrements, donnez les à la justice, puis demandez à la justice qu'ils les enterrent. Non, qu'ils enquêtent. Franchement, qu'est-ce que vous voulez que je réponde là-dessus? Mais honnêtement, qu'est-ce que vous voulez que je réponde là-dessus? Il y a quatre ans, de surcroît! Non, mais! On est dans un monde où tout se répète, où la notion de secret de famille n'existe plus… Quatre ans après vous venez me dire: il paraît qu'on préparait des enveloppes à une mamie pour qu'elle vous les remette en main propre, dans le cadre des dîners entre amis… Non… Et vous, vous étiez peut-être majordome à cette époque là? Vous comptiez pas les billets? Non? Peut-être à ce moment là, je vous aurais… non… Non, mais je vous en veux pas, mais enfin, écoutez: franchement ! Pfff… Si on cherche le propriétaire de l'île des Seychelles, c'est moi, c'est incontestable (rires). Non, pardon, je ris pas du tout, parce que cette affaire, c'est la douleur d'une famille, et des trucs comme ça… Mais qu'est ce que vous voulez que j'aille répondre là-dessus?»
Fiction inspirée des propos de M. Sarkozy à propos de l'affaire de l'attentat de Karachi.
P-S revoilà Martine, avec un billet sur le off d'Avignon…
—C'est pas la peine de vous mettre à ma gauche pour parler de ça… Écoutez, franch…, franchement c'est ridicule! Pas vous, hein, je me permettrais pas, hein! Je vous respecte, M. Japedoux… Écoutez, soit y a des éléments, donnez-les nous… Pffff… C'est grotesque ! Voilà ma réponse, qu'est-ce que vous voulez que je vous dise? Alors, raisonnement, là: pour mon financement, avec Éric, on aurait accepté des enveloppes d'une mamie que sa fille elle veut la mettre en tutelle, et ça a donné cette calomnie? Enfin, respectons le déchirement des familles, monsieur, s'il vous plaît. Qui peut croire à une fable pareille? Puis si vous avez des enregistrements, donnez les à la justice, puis demandez à la justice qu'ils les enterrent. Non, qu'ils enquêtent. Franchement, qu'est-ce que vous voulez que je réponde là-dessus? Mais honnêtement, qu'est-ce que vous voulez que je réponde là-dessus? Il y a quatre ans, de surcroît! Non, mais! On est dans un monde où tout se répète, où la notion de secret de famille n'existe plus… Quatre ans après vous venez me dire: il paraît qu'on préparait des enveloppes à une mamie pour qu'elle vous les remette en main propre, dans le cadre des dîners entre amis… Non… Et vous, vous étiez peut-être majordome à cette époque là? Vous comptiez pas les billets? Non? Peut-être à ce moment là, je vous aurais… non… Non, mais je vous en veux pas, mais enfin, écoutez: franchement ! Pfff… Si on cherche le propriétaire de l'île des Seychelles, c'est moi, c'est incontestable (rires). Non, pardon, je ris pas du tout, parce que cette affaire, c'est la douleur d'une famille, et des trucs comme ça… Mais qu'est ce que vous voulez que j'aille répondre là-dessus?»
Fiction inspirée des propos de M. Sarkozy à propos de l'affaire de l'attentat de Karachi.
P-S revoilà Martine, avec un billet sur le off d'Avignon…
toi aussi tu te lances dans la fiction ;-)
RépondreSupprimerHeu, ça ne date pas d'aujourd'hui…
RépondreSupprimerCa n'est pas vraiment de la fiction...
RépondreSupprimerBonjour vous ! Je me suis absentée trop longtemps, beaucoup de lecture à rattraper ici. Je reviendrai.
RépondreSupprimerNicolas, j'ai fait la transcription de ses propos d'origine, mais l'adaptation à la situation actuelle est bien une fiction…
RépondreSupprimerConstance, vous voici donc de retour! Bonne nouvelle!
Une non affaire pour laquelle le président décide d'interrompre son planning pour venir causer dans le poste ! :-))
RépondreSupprimerTa version est à peine décalée de la vraie !
:-))
M. Poireau, merci…
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