C'est le billet le plus difficile de tous ceux que j'ai rédigés et publiés ici. Je ne sais pas trop comment l'écrire, je ne souhaitais d'ailleurs pas le faire, mes enfants m'ont persuadé que c'est mieux ainsi. C'est le premier billet que ma femme, Marcelle, Sara Perriod-Fraysse, n'aura pas relu avant publication. Chaque soir, depuis le premier jour d'existence de ce blog, elle a été ma première lectrice, ma correctrice souvent, critique parfois. Elle a souvent soupiré sur mes abus du «moi je», nous nous sommes parfois engueulés à propos d'une phrase : ce qui arrivait de temps à autre depuis plus de quarante années passées à écrire ensemble. Elle et moi : c'est comme ça que nous vivions. C'est fini, parce qu'il me faut lâcher maintenant ce mot qui nous fait si mal, à nous, ses enfants et moi, elle est morte depuis samedi matin.
Je suis désolée pour vous et vos enfants et je compatis à votre peine.
RépondreSupprimerJocelyne
Je ne peux évidemment rien faire ni dire pour atténuer un peu le malheur qui vous frappe ni en diminuer la souffrance. Rien d'autre que je me sens très proche de vous, et spécialement en ce moment, en dépit de tout le superficiel et l'accessoire qui semblerait nous séparer.
RépondreSupprimerVeuillez donc accepter mes condoléances aussi attristées que sincères.
Comme c'est dur de voir partir la compagne de toute une vie.
RépondreSupprimerJe pense à vous, partage votre peine et celle de toute votre famille.
Alice
Je te présente mes très sincères condoléances, ami bloggeur.
RépondreSupprimerLes mots me manquentpour exprimer mon soutien et ma solidarité dans la terrible épreuve que tu traverses.
Puisses-tu trouver dans ta famille, tes proches mais aussi tes amis de la toile, la force et le courage de surmonter ce grand malheur.
Amities fraternelles
Alain Renaldini
Mes plus sincères condoléances. à toi et vos enfants.
RépondreSupprimerCher Jean-Louis, Nicolas nous avait prévenus et j'attendais le moment favorable pour t'écrire. Plus de quarante ans passés ensemble c'est formidable. Pensées sincères à toi et à tes enfants.
RépondreSupprimerC'est très triste. Merci de nous le dire.
RépondreSupprimerSi l'amitié, même virtuelle, d'une lectrice fidèle peut te réconforter en ce moment, alors je te la réitère volontiers, avec toutes mes condoléances à toi et à toute ta famille... Sara me manquera lorsque, notamment, je viendrai te voir pour le rébus du dimanche où, à ce qu'il me paraissait, elle contribuait activement et joyeusement...
RépondreSupprimerSi peu de mots pour exprimer autant de souffrance.... Je vous souhaite à vous et à vos proches beaucoup de courage dans cette épreuve, avec mes sincères condoléances.
RépondreSupprimerCher Jean-Louis,
RépondreSupprimerJe te présentes mes condoléances les plus attristées.
Amitiés.
Gabale
Je souhaite te témoigner toute ma compassion.
RépondreSupprimerJe partage ta douleur effroyable et les mots me manquent pour l'exprimer pleinement comme je le voudrais.
Marcelle aurait aimé j'en suis sûr que tu écrives ce billet elle a été de tous les instants une source d'inspiration pour toi, il faut qu'elle le soit encore.
40 années demeurent en toi pour atténuer la douleur du temps présent.
Jean-Louis, je te prie d'accepter mes très sincères condoléances.
Jean-François (melclalex)
Que dire ? Je suis avec toi.
RépondreSupprimerJe pense à toi, à tes enfants et proches.
RépondreSupprimerJe partage ta peine.
Mes sincères condoléances.
Permets-moi de te faire part de toute ma tristesse. Je ne sais quoi dire ni quoi faire. Quant je tombe par hasard sur un témoignage comme celui-là, je le prends un peu de face et je reste sonné.
RépondreSupprimerAmitiés à toi
Toutes mes condoléances, et beaucoup de courage à toi et toute ta famille.
RépondreSupprimerAvec toi et ta famille.
RépondreSupprimerMes sincères condoléances et amitiés.
Courage Jean-Louis, je suis bouleversé moi aussi par ton billet. Je ne sais pas quoi te dire, sauf que tu as toute mon amitié et mon estime. Je t'embrasse très fort.
RépondreSupprimerNous avons discuté brièvement au téléphone puis échangé par mail. Je ne sais que rajouter... Juste que ces trois ou quatre soirées, sur la terrasse, chez vous cet été resteront gravées dans ma mémoire. On rigolait ou on écoutait la nuit...
RépondreSupprimerMarcelle va manquer.
De tout coeur avec toi et les enfants.
larme. Sincères condoléances... je ne savais pas qu'un ami si virtuel pouvait provoquer autant d'émotions chez moi. Courage.
RépondreSupprimerMes sincères condoléances au Coucou et à sa famille.
RépondreSupprimerIl faut beaucoup de courage dans ces moments difficiles. Sincères condoléances.
RépondreSupprimerJe ne la connaissais, pas, et on ne peut dire que je vous connais, et pourtant, je suis touché, moi aussi. J'aurais voulu trouver les mots, mais je me contenterai de ceux d'un autre :
RépondreSupprimerQuand je ne serai plus là, relâchez-moi,
Laissez-moi partir.
J'ai tellement de choses à faire et à voir.
Ne pleurez pas en pensant à moi,
Soyez reconnaissants pour les belles années,
Je vous ai donné mon amitié.
Vous pouvez seulement deviner
Le bonheur que vous m'avez apporté.
Je vous remercie de l'amour que chacun vous m'avez démontré,
Maintenant, il est temps de voyager seul.
Pour un court moment vous pouvez avoir de la peine.
La confiance vous apportera réconfort et consolation.
Nous serons séparés pour quelque temps.
Laissez les souvenirs apaiser votre douleur.
Je ne suis pas loin et la vie continue …
Si vous avez besoin, appelez-moi et je viendrai.
Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai là.
Et si vous écoutez votre cœur, vous éprouverez clairement
La douceur de l'amour que j'apporterai.
Souffle coupé. Je ne peux rien dire, rien faire. Je pense donc à toi et à tes enfants. Toute mon amitié.
RépondreSupprimerUne pensée-BiBi pour toi et tes enfants.
RépondreSupprimerje t'envoie mes sincères condoléances,je suis bien triste de te savoir dans la peine...
RépondreSupprimerJean-Louis,
RépondreSupprimerLes mots sont imparfaits et manquent toujours dans ces cas-là. Recevez simplement, toi et tes enfants, les marques de ma sympathie et mes condoléances les plus sincères.
Antoine
les amitiés virtuelles se tissent au fil des billets, on partage des points de vues, des joies et des révoltes. Parfois aussi des larmes et des douleurs. ce billet me fait ressentir une immense de tristesse pour toi ami coucou.
RépondreSupprimerJe pense à toi et à tes proches.je suis à vos cotés en pensée.
Amicalement
Laurent
Toutes mes condoléances... Je pense à vous.
RépondreSupprimerQuelle triste nouvelle ! Jean-Louis, accepte quelques pensées peinées pour toi, vos enfants et vos proches...
RépondreSupprimerMes plus sincères condoléances.
RépondreSupprimerFidel et moi vous embrassons, nous sommes désolés et tristes avec vous.
RépondreSupprimerMes condoléances les plus attristées.
RépondreSupprimerToutes mes condoléances dans ces moments difficiles.
RépondreSupprimerMes sincères condoléances.
RépondreSupprimerToutes mes sincères condoléances et courage à vous tous pendant ces moments difficiles.
RépondreSupprimerAmitiés.
Je suis si désolée pour toi et tes enfants Jean-Louis...Pensées émues et voeux de courage à vous tous.
RépondreSupprimerAmitiés et pensées.
RépondreSupprimerOh, mon dieu, c'est triste. Je pense à vous.
RépondreSupprimerMes plus sincères condoléances, de tout cœur avec vous en ces moments douloureux, amicalement.
RépondreSupprimerRé mineur...
RépondreSupprimerC'est avec tristesse, moi qui ne commente pratiquement jamais, que je me permets d'écrire un mot, insuffisant au regard de la peine et du vide que vous devez tous éprouver. Votre peine, tout ceux qui ont perdu un être cher la partagent et la comprennent. Mes pensées émues et toutes mes condoléances, cher Coucou si mesuré et sincère.
RépondreSupprimerSincères condoléances, ami Coucou...
RépondreSupprimerQuelle chance tu as eu de connaitre cette femme et, malgré le chagrin, la douleur du manque, de l'absence, malgré la présence physique de l'absence, elle restera en écho…
RépondreSupprimer…
…
Rien ne console…
:—|
Mes pensées les plus sincères vous accompagnent dans votre grande peine.
RépondreSupprimerSincère condoléances ami blogueur. Mes pensées vont vers tes enfants et toi.
RépondreSupprimermes pensées les plus sincères coucou ....les plus sincères
RépondreSupprimerTrès ému, je pense bien fort à vous et aux votres.
RépondreSupprimerMoi qui vous lis avec tant de plaisir sans vous connaitre cependant, je vous adresse mes plus sincères condoléances et vous souhaite bon courage.Je vous souhaite d'apprendre à vivre avec cette absence. Avec le temps, les enfants, les amis...
RépondreSupprimerTu vois Jean-Louis, dans ces moments si douloureux, je me dis que nous, auteurs de blogs, avons cette chance de plus que les autres, peut-être, c'est d'avoir de vraies copains ou copines qui sont là quand plus rien ne va. Qu'ils soient lecteurs ou blogueurs, cette petite famille de la toile en est une supplémentaire qui j'espère te rassure et te fais chaud au coeur. Avec mon amitié. Courage !
RépondreSupprimerpermets que, pour te dire la compassion qui est la mienne, je te dédie en lien, à toi et à ta famille, un poème écrit voici quelques jours pour ma soeur... la douleur, ne console pas de la douleur, je sais. Mais, les paroles amies, les témoignages d'affection, ont été pour moi les dons les plus précieux, depuis bientôt deux ans. J'ai de la peine pour toi.
RépondreSupprimerOn a pas grand-chose à dire devant la douleur, sinon des mots qui n'ont pas de sens. Courage.
RépondreSupprimerun blogueur de passage bien compatissant
RépondreSupprimerde tout coeur avec toi et les tiens !
Mes pensées vont vers toi et tes enfants.
RépondreSupprimerÔ coucou....toutes mes condoléances....fais preuve de courage, toutes mes pensées vont vers toi et tes enfants. Soyez forts dans l'adversité
RépondreSupprimerAh...
RépondreSupprimerTrès cher Coucou,
RépondreSupprimerTon long silence, ce dimanche sans rébus... je devinais le chagrin, ton chagrin...
Je ne connais pas de mot assez fort pour apaiser ton immense peine et celle de ta famille.
Alors, en silence, je pleure avec toi et je te tiens la main.
De tout cœur.
Epamine
Je tiens à vous témoigner toute mon affection dans cette épreuve. Je pense bien à vous et à vos enfants.
RépondreSupprimerSincères condoléances,
Laurence
Cher Coucou, pour vous et vos enfants, des pensées douces et quelques mots de Jules Supervielle :
RépondreSupprimerIl vous naît un oiseau dans la force de l’âge,
En plein vol, et cachant votre histoire en son cœur
Puisqu’il n’a que son cri d’oiseau pour la montrer.
Il vole sur les bois, se choisit une branche
Et s’y pose, on dirait qu’elle est comme les autres.
Il vous naît un ami, et voilà qu’il vous cherche
Il ne connaîtra pas votre nom ni vos yeux
Mais il faudra qu’il soit touché comme les autres
Et loge dans son cœur d’étranges battements
Qui lui viennent de jours qu’il n’aura pas vécus.
Anne de Mars
Vraiment désolé Jean-louis, et même si ça parait parfois une formule standard, l'intention ne l'est réellement pas, toutes mes condoléances et bien de l'affection à toi et tes enfants.
RépondreSupprimerSincères condoléances.
RépondreSupprimerNicolas
Pensées et amitiés
RépondreSupprimerCher Coucou, il y a longtemps que je ne suis venu ici. Comme c'est la mésaventure qui m'est arrivée il y a quatre mois maintenant, je mesure vraiment votre peine, et mes condoléances sont bien émues.
RépondreSupprimerOn ne trouve jamais les mots mais voilà. Au fil du temps et de la lecture, des liens se nouent et la tristesse est partagée. amitiés, donc, vraiment...
RépondreSupprimereffondré
RépondreSupprimerJe ne lis pas beaucoup de blogs politiques. Tu fais partie de ceux que j'apprécie particulièrement. Sincères condoléances.
RépondreSupprimerDésolé, coucou, sincèrement désolé, je compatis, vraiment...
RépondreSupprimermême si je ne vous connais que virtuellement, j'ai mal pour vous.
RépondreSupprimerSincères condoléances
Philippe
Jean Louis,
RépondreSupprimerc'est bien connu les gens de la plume volent au dessus de nous. Les mots écrits sur la page blanche laissent toujours un goût d'immortalité. Marcelle, ton autre toi, sera toujours là, accroché à tous ses mots de l'histoire de votre vie.
Sincères condoléances
Philippe et Martine
je ne sais que dire.
RépondreSupprimerque moi aussi je suis étonnée de constater combien je suis touchée par le chagrin de quelqu'un que je ne connais pas "en vrai".
sincères condoléances
Je ne t'ai jamais vu moi non plus.
RépondreSupprimerMais je suis touché par cette nouvelle Coucou.
Toutes mes condoléances.
cher coucou,
RépondreSupprimerj'arrive bien en retard pour vous dire que je ne savais pas
et, ne vous connaissant pas autrement que par ici, que dire?
à part merci
merci pour ce que vous avez donné à la blogosphère
merci pour toutes ces leçons de vie, d'humilité, de sincérité
pour tous ces billets
merci pour ce que vous m'avez donné
et, qu'égoïstement j'espère, vous donnerez encore, à tous...
je ne vous ai jamais rencontré mais je vous envoie toute mon affection, toute mon estime et pense à vous
amitiés sincères
christophe l'aixois
Les mots manquent toujours devant le chagrin et la douleur ... Courage à vous et vos enfants.
RépondreSupprimerSincerement touchée par le deuil qui vous frappe.
Je suis sous le choc. Mes sincères condoléances.
RépondreSupprimerAmitiés. Une pensée pour toute la famille.
Homer.
Tristesse du manque qui s'installe avec toutes mes sincères condoléances qui ne fermeront jamais complètement l'absence d'un vide profond!
RépondreSupprimerLes mots ne font pas grand chose, il reste à vivre avec elle en vous ...
RépondreSupprimerAmicales pensées à vous et aux vôtes.
De passage par hasard, via Ruminances.
RépondreSupprimerJuste envie de vous dire ma sympathie …
Bon courage à la famille...
RépondreSupprimerUn ornitophile !
Cher Jean-Louis, Je suis si triste pour toi et tes enfants. Prenez bien soin les uns des autres. Elle est là, à travers vous...
RépondreSupprimerrien à dire ni à faire, si ce n'est ce simple témoignage d'amitié. De tout coeur avec toi
RépondreSupprimerNous pensons fortement à toi et à ta famille.
RépondreSupprimerEric & Michèle
C'est bien tardivement que je lis votre peine et vous adresse mes sincères condoléances ainsi qu'à vos proches. Amitiés
RépondreSupprimerElle est éternelle.
RépondreSupprimerAmitiés sincères.
Gularu
Avec toutes mes condoléances et mon amitié.
RépondreSupprimerAmis et amies connus ou inconnus, mes enfants et moi vous remercions de ces témoignages de sympathie qui nous ont réchauffé le cœur. Il m'est arrivé de douter du pouvoir des mots, mais je sais aujourd'hui qu'il existe, et celui des vôtres était bon.
RépondreSupprimerMes condoléances et mes amitiés. Je suis si peiné. Courage
RépondreSupprimerj'étais loin, je suis confus. Je découvre. Je te présente toutes mes condoléances, ami blogueur. Mes mots sont maladroits et tardifs, mais ils sont sincères.
RépondreSupprimerJuan-Carlos, merci.
RépondreSupprimerJuan, il ne faut pas, et tes mots ne sont pas plus maladroits que mon merci sincère.