Que raconter, par ce dimanche peu propice à inspirer un billet? Résumer mon actualité de la semaine écoulée, par exemple, telle du moins, que je l'ai bafouillée sur ce blog, pour quelques centaines de visiteurs, parmi lesquels il doit bien se trouver une ou deux pincées de lecteurs. Lundi dernier, j'ai joué de la tronçonneuse jusqu'au soir, où j'ai loué le retour de la fée électricité dans mon domicile. Pas un seul instant de ce jour là, je l'affirme, je n'ai pensé à Sara Palin. Vous vous demandez ce que cette dame vient faire ici? Ne vous bilez pas, c'est une expérience de mot-clef, comme j'en ai vu chez certains blogueurs : je viens de lire sur Politico, via Mediapart, que la candidate malheureuse à la vice-présidence des USA, fait exploser les moteurs de recherche sur internet… J'aurais très bien pu me demander ce jour-là si Sara Palin se rendait compte de la situation à Claviers, Var, France? Eh bien, je ne l'ai pas fait.
Mardi, aïe! J'ai attendu le résultat des élections au PS et mes espoirs ont été déçus. Tout comme le Mercredi. Avec le stoïcisme d'un bûcheron endurant sa sciatique, Mardi et Mercredi, je me suis efforcé d'atteindre un état d'esprit permettant de dominer la douleur de la défaite. L'heure n'était plus à bouffer de l'Aubry ou du Hamon, j'ai enterré ma hache de guerre. D'ailleurs, n'étant que sympathisant, je crois qu'il me revient de ne pas envenimer les querelles du PS.
Jeudi, frappé par le bon sens des milliardaires du monde entier qui se promettent de rompre avec leurs maîtresses ou amants par mesure d'économie, j'ai avancé ici l'idée que nous pourrions, français, nous débarrasser de notre très coûteux président. En période de crise, son côté dépensier compulsif et son addiction au luxe me paraissent en effet déplacés, mais bon…
Vendredi, ah, Vendredi! Avec un brin de fierté, je note que j'ai été parmi les premiers à constater que le jugement rendu dans l'affaire de la poupée vaudou, représentait davantage un échec qu'un succès pour le vindicatif M. Sarkozy.
Et puis, je me suis penché à ma manière sur la préconisation de je ne sais quelle commission d'emprisonner les délinquants mineurs à partir de 12 ans. Du Figaro au Nouvel Obs, j'ai constaté qu'une proportion étonnante de la population semble trouver cela normal. J'en ai tiré la conclusion, anticipant un peu sur les capacités de notre société fraternelle, qu'un jour radieux viendra où l'on pourra enfermer dès la naissance la graine de racaille.
Samedi, j'ai fait mon Lundi! Oui, oui, j'ai anticipé la journée mondiale de lutte contre le sida… Par les temps de crise qui courent, j'ai estimé que deux jours d'avance ne seraient pas de trop pour lubrifier les esprits et les articulations mises en jeu dans la saisie d'un porte monnaie ou d'un carnet de chèque. Avec le tsunami de dèche qui déferle sur le monde, la générosité va en prendre un coup, à commencer par celle des états. Il n'y a pas que nous pour venir en aide et soigner les malades du sida, mais il y a SURTOUT nous. Allons, ne fermons pas nos coeurs!
Aujourd'hui c'était Dimanche, j'ai fini.
PS: Martine nous invite aujourd'hui à découvrir un site de photos, superbe, bouleversant.
Mardi, aïe! J'ai attendu le résultat des élections au PS et mes espoirs ont été déçus. Tout comme le Mercredi. Avec le stoïcisme d'un bûcheron endurant sa sciatique, Mardi et Mercredi, je me suis efforcé d'atteindre un état d'esprit permettant de dominer la douleur de la défaite. L'heure n'était plus à bouffer de l'Aubry ou du Hamon, j'ai enterré ma hache de guerre. D'ailleurs, n'étant que sympathisant, je crois qu'il me revient de ne pas envenimer les querelles du PS.
Jeudi, frappé par le bon sens des milliardaires du monde entier qui se promettent de rompre avec leurs maîtresses ou amants par mesure d'économie, j'ai avancé ici l'idée que nous pourrions, français, nous débarrasser de notre très coûteux président. En période de crise, son côté dépensier compulsif et son addiction au luxe me paraissent en effet déplacés, mais bon…
Vendredi, ah, Vendredi! Avec un brin de fierté, je note que j'ai été parmi les premiers à constater que le jugement rendu dans l'affaire de la poupée vaudou, représentait davantage un échec qu'un succès pour le vindicatif M. Sarkozy.
Et puis, je me suis penché à ma manière sur la préconisation de je ne sais quelle commission d'emprisonner les délinquants mineurs à partir de 12 ans. Du Figaro au Nouvel Obs, j'ai constaté qu'une proportion étonnante de la population semble trouver cela normal. J'en ai tiré la conclusion, anticipant un peu sur les capacités de notre société fraternelle, qu'un jour radieux viendra où l'on pourra enfermer dès la naissance la graine de racaille.
Samedi, j'ai fait mon Lundi! Oui, oui, j'ai anticipé la journée mondiale de lutte contre le sida… Par les temps de crise qui courent, j'ai estimé que deux jours d'avance ne seraient pas de trop pour lubrifier les esprits et les articulations mises en jeu dans la saisie d'un porte monnaie ou d'un carnet de chèque. Avec le tsunami de dèche qui déferle sur le monde, la générosité va en prendre un coup, à commencer par celle des états. Il n'y a pas que nous pour venir en aide et soigner les malades du sida, mais il y a SURTOUT nous. Allons, ne fermons pas nos coeurs!
Aujourd'hui c'était Dimanche, j'ai fini.
PS: Martine nous invite aujourd'hui à découvrir un site de photos, superbe, bouleversant.