J'ai un moment éprouvé la tentation de mettre en parallèle notre modeste vie publique et la politique nationale, style : faut-il boycotter le tournois international de belote du Liechtenstein au motif que son prince pique nos gros contribuables ? Tout bien pesé, j'y renonce, le rapprochement serait indécent.
Il reste que l'auteur du commentaire ajouté à «Clavolive» cette nuit, lance une réflexion intéressante : fallait-il que les autres maires du canton, amis de notre ancien maire, boudent l'inauguration de la fête ? Par leur présence, ils établissaient en quelque sorte la reconnaissance officielle de la nouvelle municipalité clavésienne. Il me semble qu'ils ne pouvaient agir autrement : représentants des villages alentour, ils n'ont aucune raison de prendre parti dans notre querelle ; d'autant que chez nos voisins, observateurs effarés de nos embrouilles, les avis sont partagés. Il ne faut pas regretter que leurs élus se soucient d'abord d'harmonie entre nos populations.
lundi 31 mars 2008
dimanche 30 mars 2008
Une précision, hélas.
J'en doutais, malgré les avis contraires que j'entendais, mais j'avais tort : la volte-face surprise de nos deux Conseillers est tout à fait légale. C'est en quelque sorte une inopportunité permise par la liberté de panachage laissée aux électeurs des petites communes. Seule la morale n'y trouve pas son compte.
Lampadaire
Nous avons eu un Maire souvent irritable par impatience d'agir et tempérament —ses ennemis useront d'un autre vocabulaire à l'usage de leur chapelle, grand bien leur fasse—, mais il a réveillé la belle endormie qu'était insensiblement devenu le village, transformé celui-ci, mis en route des projets indispensables, géré en somme efficacement la commune. Il paraît que cela aurait coûté trop cher, on verra bien ce que diront les nouveaux maîtres de nos finances à ce sujet. Je suis fâché avec les chiffres et ne connais rien à la gestion… Durant la campagne, des candidats adverses ont vomi en détail les choix de la municipalité sortante, la nature d'un dallage, le grain des pavés, la largeur des rues, l'opportunité d'un trottoir… Sans rire, ni apparemment se rendre compte que demain, on pourra tout aussi facilement railler la taille et la forme des nouveaux pots de fleurs, ou les lampadaires solaires qu'ils nous ont promis verbalement —s'ils passent aux actes. J'abrège la liste des infamies imputées aux sortants, il y en a d'autres…
Mais il y a une chose que je voudrais souligner ici, notre ancien Maire était, est, un homme intègre. Ceux qui le connaissent bien mieux que moi le confirment. Avouez que c'est une disposition de caractère appréciable chez un Maire !
À lire !
Mais il y a une chose que je voudrais souligner ici, notre ancien Maire était, est, un homme intègre. Ceux qui le connaissent bien mieux que moi le confirment. Avouez que c'est une disposition de caractère appréciable chez un Maire !
À lire !
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opposition
samedi 29 mars 2008
Clavolive : ma minute de pub…
Demain, c'est la fête de l'olivier et des olives au village. Ça n'a rien à voir avec les élections, alors profitons en pour nous sourire quelques heures durant sans arrière-pensées —autant que possible. Pour ceux qui lisent ce blog et ne connaissent pas Claviers (il y en a), venez donc faire un tour sur notre terre d'oliviers…
Chagrin au village
Le village est divisé, les anciens en souffrent, de plus jeunes aussi, personne ne peut se réjouir de la situation. J'imagine que dans le passé clavésien, à chaque élection peut-être, une fraction de la population était mécontente de tout ou partie de la municipalité sortie des urnes, mais au moins les choses étaient-elles claires, aucune manoeuvre déloyale n'ayant entaché le résultat. Les dépités mettaient leur rogne dans la poche, le mouchoir par-dessus, il fallait bien s'incliner devant la volonté de la majorité de ses concitoyens, même ceux que l'on tenait pour des cons. Cette fois, quelque chose de différent est arrivé : la campagne électorale a été sourdement tendue, on a joué des rumeurs, tenté de convaincre au porte à porte, ouvert des permanences, débattu, bref : bataillé sans doute plus durement que d'habitude. Et cette fois, deux élus qui ont mal pesé toutes les conséquences de leur volte-face, ont berné la majorité des électeurs, semé la discorde. Ça ne passe pas, cela ne peut pas passer. Les Conseillers de la liste "Alternative", quoique démocratiquement élus, sont aujourd'hui indûment installés à la tête de la commune, ceux qui ont voté pour eux devraient l'admettre et rejeter avec nous les deux tricheurs. Arrêtons de nous faire la gueule, ne nous trompons pas d'adversaire.
vendredi 28 mars 2008
Coup d'œil sur le conseil municipal du 28 Mars
La salle des fêtes était aussi bourrée qu'une voiture de métro aux heures de pointe, hier soir. Pourtant, l'ordre du jour de la séance n'était guère alléchant : désignation des divers délégués de la commune auprès de nombreux organismes de la région. C'était long, assez fastidieux —chaque désignation donnant lieu à un vote—, mais d'une grande importance. Le nouveau Maire, qui avait promis je ne sais où de faire preuve d'ouverture en direction de la nouvelle opposition, ne proposa de fait aucun poste à celle-ci. Et donc, fort logiquement, les conseillers minoritaires choisirent-ils de ne pas s'exposer inutilement à des échecs répétitifs lors des votes, à une exception près.
Détails à noter : lors de la désignation aux deux postes très prisés de délégués auprès de la Communauté d'Agglomération Dracénoise, le nouveau maire et sa deuxième adjointe (co-auteurs du renversement de majorité) se portèrent candidats. Le nouveau maire ne recueillit pas le nombre de voix nécessaires au premier tour. Étourderie, oubli d'une procuration, petit avertissement entre amis ? On ne sait, mais ce fut l'une des rares occasions de sourire de la soirée. Tout rentra dans l'ordre majoritaire au tour suivant, bien entendu.
Au moment d'évoquer enfin le sort futur du bulletin municipal, Claviers Infos, l'opposition dut batailler un moment avant d'obtenir de l'adjointe responsable de la publication la vague promesse, concédée du bout des lèvres, de disposer d'un espace pour s'exprimer.
Dernier détail : à l'issue de la séance publique, je me suis permis de dire au nouveau maire que je trouvais son élection illégitime et de lui demander de démissionner. On m'a hué, c'était à prévoir, mais il y avait aussi des gens du même avis, davantage que je ne le croyais, ai-je constaté une fois dans la rue. Merci à eux.
Détails à noter : lors de la désignation aux deux postes très prisés de délégués auprès de la Communauté d'Agglomération Dracénoise, le nouveau maire et sa deuxième adjointe (co-auteurs du renversement de majorité) se portèrent candidats. Le nouveau maire ne recueillit pas le nombre de voix nécessaires au premier tour. Étourderie, oubli d'une procuration, petit avertissement entre amis ? On ne sait, mais ce fut l'une des rares occasions de sourire de la soirée. Tout rentra dans l'ordre majoritaire au tour suivant, bien entendu.
Au moment d'évoquer enfin le sort futur du bulletin municipal, Claviers Infos, l'opposition dut batailler un moment avant d'obtenir de l'adjointe responsable de la publication la vague promesse, concédée du bout des lèvres, de disposer d'un espace pour s'exprimer.
Dernier détail : à l'issue de la séance publique, je me suis permis de dire au nouveau maire que je trouvais son élection illégitime et de lui demander de démissionner. On m'a hué, c'était à prévoir, mais il y avait aussi des gens du même avis, davantage que je ne le croyais, ai-je constaté une fois dans la rue. Merci à eux.
jeudi 27 mars 2008
Le Maire Nouveau est arrivé !
Dans ma boîte, ce midi, une lettre du nouveau Maire à ses concitoyens… Un plaidoyer, où ses mérites jusqu'alors inconnus nous sont révélés, sa trahison des électeurs justifiée avec une laborieuse impudence. Sans oublier l'accusation portée contre ses détracteurs d'être mauvais perdants —comme si le fait de détourner sans vergogne les suffrages recueillis n'était qu'une bonne blague ! Une chose encore me choque : sa prétention à vouloir nous représenter, parler en notre nom. Et je pose une question : si la majorité des 218 électeurs qui ont élu ce monsieur, comme moi, s'estiment dépouillés de leur vote, peut-il légitimement prétendre à les représenter ?
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Du côté de la mairie
mercredi 26 mars 2008
Voter n'est pas jouer
Au cours d'une discussion cordiale, quelqu'un m'a reproché avec un large sourire de réagir en mauvais joueur, en quelque sorte de ne pas savoir apprécier à sa juste valeur un joli coup concluant une aimable partie électorale entre amis… Dans cette optique, notre Maire actuel aurait décroché le gros lot d'un loto local. Applaudissons l'habile homme ! C'est faire peu de cas d'un Droit de Vote durement acquis par le peuple français, oublier que notre bulletin est la principale manifestation de notre souveraineté. L'espace d'une élection, nous détenons le précieux pouvoir de rappeler à notre personnel politique qu'il n'y a qu'un seul souverain légitime dans ce pays, le peuple français. Et cela nous donne aussi des devoirs. N'acceptons jamais que notre volonté soit bafouée par ceux qui nous représentent.
lundi 24 mars 2008
De l'élégance en politique
Je reviens d'une visite sur le site de la «Liste alternative». Rien de neuf, si ce n'est la publication de la composition du nouveau Conseil Municipal. Comme il était prévisible, chacun et chacune est récompensé(e) selon ses mérites. Pour la liste des Conseillers, une innovation est à noter : il est d'usage d'ordinaire de citer les personnes d'un groupe dans l'ordre alphabétique, dans un souci à la fois de courtoisie et d'équité. Ici rien de tel, la liste a été composée de manière à faire figurer l'ancien maire en dernière position. Puni, na ! Soyons assurés que les inspirateurs de la nouvelle équipe ont une justification déjà prête pour cette singularité (peut-être l'ordre décroissant du nombre de voix obtenues, je ne sais), mais cela colle bien mal avec la «dignité» que les mêmes invoquaient il y a quelques jours encore.
samedi 22 mars 2008
Machiavel au village
Acte I — 09 Mars 2008 : Premier tour des élections municipales.
Au village, 668 habitants, nous avons le choix entre deux listes de quinze personnes chacune, plus une candidate isolée. Il y a la liste du Maire sortant, «Pour Claviers avançons ensemble» , et la «Liste alternative» regroupant les mécontents de la gestion précédente, les ambitions inavouées, des protagonistes de querelles associatives obscures.
Le Maire sortant souffre d'un vrai handicap, des plus répandus parmi ses pairs français : un excès d'autorité, un tempérament volcanique. Comme j'entre moi-même aisément en éruption, il m'est arrivé de m'engueuler avec lui, mais ceci n'a guère d'importance à mes yeux : j'approuve l'essentiel de la gestion passée de son équipe, et humainement l'homme m'inspire un certain respect.
Comme je connais assez mal les membres de la liste adverse et que les propositions de celle-ci ressemblent davantage à un menu allégé qu'à un programme, je choisis de voter pour toute l'ancienne équipe sans panacher les listes ainsi que le permet notre statut de petit village.
À l'issue de ce premier tour, l'équipe sortante a eu sept élus, la liste «Alternative» adverse : deux.
Acte II —16 Mars 2008 : second tour des élections.
Pour le choix des six conseillers manquants, à mon grand dépit je n'ai pu voter au second tour (j'étais en déplacement professionnel et le temps m'avait manqué pour donner procuration à quelqu'un. Je reviendrai sur cela à une autre occasion).
Après dépouillement, la liste de l'ancien maire a obtenu neuf élus. Donc en théorie, la liste du maire sortant est majoritaire (9 élus contre 6 à l'opposition).
Acte III — hier soir, Vendredi 21 Mars, élection publique du maire.
La petite salle des fêtes est bourrée, on se presse au corps à corps, on se hisse sur la pointe des pieds pour apercevoir les élus assis à une table, à l'abri d'une barrière. Notre ancien maire, qui se trouve être le doyen du nouveau conseil municipal, nous inflige la lecture de la loi électorale. Il faut bien. Puis il se porte candidat, on s'y attendait… Mais voilà qu'un homme se lève… l'un des colistiers de notre ancien maire ! Là, demi-surprise, car une rumeur de trahison courait le village depuis le début de la semaine : l'homme se présente comme un candidat de consensus au poste de Maire, pour apaiser les tensions. Ouf ! faut oser !
Bon, on va passer au scrutin, et survient un petit, tout petit incident : un élu de la liste minoritaire, la tête pensante de celle-ci, demande que le vote ait lieu sur des bulletins pré-imprimés. Une exigence de pure forme, puisqu'elle est aussitôt acceptée et que les bulletins imprimés des deux bords sont prêts. Sur l'instant, cet incident m'étonne, mais j'ai l'esprit de l'escalier, hélas, je n'en comprendrai la raison qu'en m'endormant beaucoup plus tard.
Des bulletins imprimés permettent de garantir un relatif anonymat à celle ou celui qui trahit ses électeurs. Bien sûr on sait d'où sont venus les mauvais coups, tout le monde sait, mais personne ne peut vraiment le prouver, n'est-ce pas?
Nos élus passent à l'isoloir, enfilent leur enveloppe laborieusement dans la fente d'une boite à chaussures… Et puis on vide la boite, on compte méticuleusement. Suspense? Comment serons-nous chaussés administrativement les six prochaines années?
L'homme du consensus, le Brutus de l'ancien maire, est élu au premier tour avec les six voix de l'opposition «Alternative», plus deux trahisons. Enfin, peut-être est-il inélégant de parler de trahison dans le cas de Monsieur le Nouveau Maire qui a donc voté pour lui même, mais c'est tentant !
Ai-je été clair? En résumé, une fois installés au conseil municipal, deux traîtres ont renversé la majorité sortie des urnes en lâchant les leurs pour rallier la liste adverse.
Un problème se pose à moi : ma voix (plus combien d'autres?) a été détournée. ON a dépouillé mon vote, mon choix, de toute réalité. C'est un hold-up, une manifestation supplémentaire de l'immoralité dans notre vie politique qui n'avait pas besoin de ça. Et je ne pourrais rien y faire ? À voir.
Le Maire sortant souffre d'un vrai handicap, des plus répandus parmi ses pairs français : un excès d'autorité, un tempérament volcanique. Comme j'entre moi-même aisément en éruption, il m'est arrivé de m'engueuler avec lui, mais ceci n'a guère d'importance à mes yeux : j'approuve l'essentiel de la gestion passée de son équipe, et humainement l'homme m'inspire un certain respect.
Comme je connais assez mal les membres de la liste adverse et que les propositions de celle-ci ressemblent davantage à un menu allégé qu'à un programme, je choisis de voter pour toute l'ancienne équipe sans panacher les listes ainsi que le permet notre statut de petit village.
À l'issue de ce premier tour, l'équipe sortante a eu sept élus, la liste «Alternative» adverse : deux.
Acte II —16 Mars 2008 : second tour des élections.
Pour le choix des six conseillers manquants, à mon grand dépit je n'ai pu voter au second tour (j'étais en déplacement professionnel et le temps m'avait manqué pour donner procuration à quelqu'un. Je reviendrai sur cela à une autre occasion).
Après dépouillement, la liste de l'ancien maire a obtenu neuf élus. Donc en théorie, la liste du maire sortant est majoritaire (9 élus contre 6 à l'opposition).
Acte III — hier soir, Vendredi 21 Mars, élection publique du maire.
La petite salle des fêtes est bourrée, on se presse au corps à corps, on se hisse sur la pointe des pieds pour apercevoir les élus assis à une table, à l'abri d'une barrière. Notre ancien maire, qui se trouve être le doyen du nouveau conseil municipal, nous inflige la lecture de la loi électorale. Il faut bien. Puis il se porte candidat, on s'y attendait… Mais voilà qu'un homme se lève… l'un des colistiers de notre ancien maire ! Là, demi-surprise, car une rumeur de trahison courait le village depuis le début de la semaine : l'homme se présente comme un candidat de consensus au poste de Maire, pour apaiser les tensions. Ouf ! faut oser !
Bon, on va passer au scrutin, et survient un petit, tout petit incident : un élu de la liste minoritaire, la tête pensante de celle-ci, demande que le vote ait lieu sur des bulletins pré-imprimés. Une exigence de pure forme, puisqu'elle est aussitôt acceptée et que les bulletins imprimés des deux bords sont prêts. Sur l'instant, cet incident m'étonne, mais j'ai l'esprit de l'escalier, hélas, je n'en comprendrai la raison qu'en m'endormant beaucoup plus tard.
Des bulletins imprimés permettent de garantir un relatif anonymat à celle ou celui qui trahit ses électeurs. Bien sûr on sait d'où sont venus les mauvais coups, tout le monde sait, mais personne ne peut vraiment le prouver, n'est-ce pas?
Nos élus passent à l'isoloir, enfilent leur enveloppe laborieusement dans la fente d'une boite à chaussures… Et puis on vide la boite, on compte méticuleusement. Suspense? Comment serons-nous chaussés administrativement les six prochaines années?
L'homme du consensus, le Brutus de l'ancien maire, est élu au premier tour avec les six voix de l'opposition «Alternative», plus deux trahisons. Enfin, peut-être est-il inélégant de parler de trahison dans le cas de Monsieur le Nouveau Maire qui a donc voté pour lui même, mais c'est tentant !
Ai-je été clair? En résumé, une fois installés au conseil municipal, deux traîtres ont renversé la majorité sortie des urnes en lâchant les leurs pour rallier la liste adverse.
Un problème se pose à moi : ma voix (plus combien d'autres?) a été détournée. ON a dépouillé mon vote, mon choix, de toute réalité. C'est un hold-up, une manifestation supplémentaire de l'immoralité dans notre vie politique qui n'avait pas besoin de ça. Et je ne pourrais rien y faire ? À voir.
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revu le 25/03/08
Petite mise au point pour commencer
J'ouvre ce blog au lendemain de l'élection du Maire de mon village, encore sous le coup de l'indignation. La minuscule vie municipale dans nos collines provençales n'a aucune importance, a priori, du point de vue national. À mes yeux, elle reflète pourtant bien les vertus et les vices de la politique de ce pays.
Ici donc, je souhaite exprimer ma colère —quand il y a lieu—, observer, réfléchir à voix haute en quelque sorte.
J'ai choisi de ne pas désigner nommément les élus locaux dont je parlerai, parce que ce ne sont pas les personnes privées qui m'intéressent (sans doute estimables par ailleurs), mais leurs actes publics.
Ils se reconnaîtront, on les reconnaîtra peut-être, mais en sollicitant les suffrages du peuple souverain*, ils s'exposaient à la critique publique.
Enfin, ce blog ne sera que le reflet de ma subjectivité, mais il accueillera tous les commentaires qu'il vous plaira de m'offrir pour réfléchir, regarder la vie comme elle passe, sans toutefois s'ouvrir aux contributions polémiques. C'est ma maison, et charbonnier est maître chez soi.
*sourions !
Ici donc, je souhaite exprimer ma colère —quand il y a lieu—, observer, réfléchir à voix haute en quelque sorte.
J'ai choisi de ne pas désigner nommément les élus locaux dont je parlerai, parce que ce ne sont pas les personnes privées qui m'intéressent (sans doute estimables par ailleurs), mais leurs actes publics.
Ils se reconnaîtront, on les reconnaîtra peut-être, mais en sollicitant les suffrages du peuple souverain*, ils s'exposaient à la critique publique.
Enfin, ce blog ne sera que le reflet de ma subjectivité, mais il accueillera tous les commentaires qu'il vous plaira de m'offrir pour réfléchir, regarder la vie comme elle passe, sans toutefois s'ouvrir aux contributions polémiques. C'est ma maison, et charbonnier est maître chez soi.
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