Vous trouverez certainement dans ce rébus, à condition de ne pas compliquer les choses inutilement, le nom usuel d'un personnage politique. Comme d'habitude, il peut appartenir à l'époque actuelle ou à l'Histoire de n'importe quel pays. (Au besoin cliquez sur l'image pour l'agrandir). Bon dimanche !
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16 commentaires:
Fouquier-Tinville.
Fais péter la couronne d'épines et le teeshirt de Turin offerts aux gagnants modestes !
Fou qui éteint ville.
Pâques, excellent jour pour se faire un œuf thermidor en souvenir de Fouquier-Tinville.
Un fou qui éteint une ville : fou-qui-éteint-ville
Fouquier Tinville. Si facile que j'ai trouvé toute seule !
Cher Coucou, Fidel et moi vous envoyons une bise de Constance/Michèle, qui était chez nous mardi soir, étonnant, non ?
Un lutin de comédie qui cherche a moucher le feu d'une ville à la fortification pentagonale… Heu ?!!
Je tente : Couve de Murville
Tu me gâtes, c'est super facile : Jacques Bas-Lutin !
:-))
[N'empêche je trouve à chaque fois une réponse à côté de la plaque ! Champion des "non-rébus" !!! :-) ].
Non mais il est dingue ce type ! D'abord, cet accoutrement, y a pas idée ! Et puis il le voit bien que la ville brûle, non ? Quoi, il manque à ce point d'imagination qu'il ne devine, derrière les murs de la ville, ces hommes et ces femmes qui périssent, leurs atroces souffrances ? Quoi, les enfants non plus ? Il n'entend pas leurs cris, leur immense douleur, dans les maisons en flammes ? Non, lui, tranquillement sous la lune, accroupi sur ses deux pieds chaussés, le voilà qui couve le feu de son immense éteignoir. Parce que c'est joli, sans doute. Non mais quel bouffon !
Ils sont tous morts désormais, hélas ! Tous morts, brulés vifs. Au mieux asphyxiés par les gaz. Et la muraille, derrière laquelle ils s'imaginaient à l'abri, ne leur fut été d'aucune utilité. Tu peux hisser les voiles, Charon, cette nuit milles âmes traverseront en ta compagnie le redoutable Acheron.
Voilà j'ai tout - même le prénom.
Mort Hisse Couve Deux Mur Ville
Maurice Couve de Murville
Fou couvre feu, bon, Maurice Couve de Murville... (un maurice c'est un fou ? un feu dans la ville...). Ca me rappelle le sketch de Bedos, allez juste pour le plaisir : Au feu au fou . Pourquoi j'ai trouvé aujourd'hui ?(enfin, peut-être... en tout cas j'ai eu une idée) parce que c'était facile ou parce que c'est Pâques ?
À tous : je repasse un peu plus tard pour répondre, excusez-moi.
Jazzman,
eh bien voilà ! Un grand bravo, mon cher ! Pour la couronne et le tee-shirt de Turin, je suis désolé, mais je n'en ai pas en magasin…
Omnibus,
oui, c'est exactement comme ça qu'il se déchiffre. Bravo !
Œuf thermidor ? On va dire que la sauce est orthodoxe puisque, paraît-il, toutes les Pâques coïncident cette année.
La Mère Castor,
facile, facile ! apparemment pas pour tout le monde ! C'est impeccable, bravo aussi !
Constance? Ça alors, oui, me voilà très étonné. Rendez-lui la bise si elle repasse.
Jean,
c'est un fou du roi, voyons :-))
Lol,
tiens, il est rare que vous ne trouviez pas ! Vous aurez plus de chance avec le prochain, j'espère.
M Poireau,
pourtant, j'ai tout essayé pour te favoriser. Ah ! et puis, mettons fin à une légende: ce matin j'ai essayé de mettre de l'ordre dans les mails qui s'accumulaient déraisonnablement sur mon ordinateur, et j'ai aperçu à plusieurs reprises de bonnes réponses (2,3,4?) au rébus d'un certain Poireau.
Dedalus,
merci du coup de main, en tout cas :-) Bizarre d'avoir tous les éléments et de passer à côté du grand guillotineur… À part ça, c'est aussi un autoportrait en fou.
Lucia,
je suis vraiment désolé de vous dire que votre réponse est fausse. Comparez avec la bonne : il n'y a pas d'ambiguïté sur la formation du nom. Merci pour le sketch, j'y vais.
À tous : un grand merci pour votre participation et je vous souhaite une bonne semaine.
le sketch de Devos... pardon... c'est le jeune Nicolas Bedos qui me trouble ;))
Lucia,
comme j'ai dîné avant de regarder, je n'ai pas été surpris. Devos était un digne héritier des fous du roi et des jongleurs de mots.
Les organisateurs contemporains sont bien imprévoyants.
Je me souviens d'avoir lu la description d'un des premiers cross-country au Mont des Oliviers, eh bien ils se débrouillaient.
Comme le vélo n'avait pas encore été inventé, les coureurs portaient un ersatz, mais le vainqueur avait droit à sa couronne et comme la photo n'existait pas encore on tirait le portrait des cinq premiers en sueur grâce à la poussière du parcours.
L'orthographe des cinq sueurs a été déformée par les SMS de l'époque et on n'en a retrouvé qu'un, à Turin justement...
Je cite de mémoire, mais on peut retrouver les twitts authentiques sur le web.
Jazzman,
belle érudition, dommage que tu en sois resté aux simples prémices de l'événement pascal, sans évoquer son mystère : jumeaux, archaïque méthode de sauvegarde, etc.
Je n'ai fait que retranscrire une impression de déjà-vu qui m'était venue en regardant pour la première fois à la TV un coureur de cross-country portant son vélo.
Maintenant que tu en parles, effectivement l'histoire des jumeaux à l'arrivée avait aussi fait scandale à l'époque. Ce que j'en retiens c'est que les problèmes de déontologie des journalistes ne datent pas d'aujourd'hui...
Jazzman,
concernant les journalistes de l'époque, le problème c'est qu'on ne dispose guère que des allusions de Flavius Josephe : un précurseur de nos grands reporters qui œuvrent du comptoir-bar des Hilton. Il écrivait ses dépêches sur la table des tavernes romaines ;-)
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