Hier, Nicolas Sarkozy visitait le site d'un futur laser mégajoule. Pose photographique obligée auprès de scientifiques qui courbent le chef et l'échine de leur mieux, sans doute par respect de la dimension présidentielle de l'événement.
Ensuite petit discours indispensable… Et là surprise : le chef de l'état a célébré l'esprit de réforme qui le tient, sur l'air de: «Je ne suis pas un obsédé de la réforme, mais… » Cela ne faisait à vrai dire que renforcer les propos qu'il avait tenus la veille à l'Élysée devant des députés centristes : «Jusqu'à la dernière minute de mon quinquennat, je mettrai des idées nouvelles sur la table et des réformes».
Du coup, les journaux en ligne, comme le NouvelObs ne manquent pas de relever aujourd'hui ce revirement capricieux d'un homme qui annonçait en mars dernier la «pause» dans les réformes pour 2011. Comment expliquer un tel changement de cap ?
La tentation sera forte pour les commentateurs serviles de trouver une explication rationnelle à cette attitude. Pourtant, à l'évidence, nous sommes simplement confrontés à la dernière foucade d'un caractériel. Sarkozy, vexé par le rejet massif de sa réforme des retraites, nous fait une crise de rage.
Certes, il ne trépigne pas la bave aux lèvres, les yeux hors de la tête devant nous, mais c'est tout comme. «Ah! vous ne voulez pas que je bousille vos retraites pour engraisser ma famille et mes amis? Eh bien, on va voir qui c'est qui commande ici ! Des réformes, je vous en ferai bouffer encore…»
Voilà ce qui arrive lorsqu'on installe un agité primaire à la présidence. La seule question qui vaille d'être posée, c'est : faut-il vraiment le subir «jusqu'à la dernière minute de [son] quinquennat» ?
Ensuite petit discours indispensable… Et là surprise : le chef de l'état a célébré l'esprit de réforme qui le tient, sur l'air de: «Je ne suis pas un obsédé de la réforme, mais… » Cela ne faisait à vrai dire que renforcer les propos qu'il avait tenus la veille à l'Élysée devant des députés centristes : «Jusqu'à la dernière minute de mon quinquennat, je mettrai des idées nouvelles sur la table et des réformes».
Du coup, les journaux en ligne, comme le NouvelObs ne manquent pas de relever aujourd'hui ce revirement capricieux d'un homme qui annonçait en mars dernier la «pause» dans les réformes pour 2011. Comment expliquer un tel changement de cap ?
La tentation sera forte pour les commentateurs serviles de trouver une explication rationnelle à cette attitude. Pourtant, à l'évidence, nous sommes simplement confrontés à la dernière foucade d'un caractériel. Sarkozy, vexé par le rejet massif de sa réforme des retraites, nous fait une crise de rage.
Certes, il ne trépigne pas la bave aux lèvres, les yeux hors de la tête devant nous, mais c'est tout comme. «Ah! vous ne voulez pas que je bousille vos retraites pour engraisser ma famille et mes amis? Eh bien, on va voir qui c'est qui commande ici ! Des réformes, je vous en ferai bouffer encore…»
Voilà ce qui arrive lorsqu'on installe un agité primaire à la présidence. La seule question qui vaille d'être posée, c'est : faut-il vraiment le subir «jusqu'à la dernière minute de [son] quinquennat» ?
6 commentaires:
J'ai vu les "courbures de chef et d'échine" en image qui bougent,...euh...comment dire...ben il suffit de regarder l'image qui ne bouge pas de ton lien 'photographique' !
;^)
allez cher coucou je me fais le porte parole des 50 commentaires suivants, et en plus je la ferai courte : je réponds NON
Bonjour !
En effet, cet homme est absolument givré ! Serge Hefez évoquait, parlant de lui avant son élection, un " Pervers narcissique". C'est dire s'il faut s'attendre à tout. On ne confie pas le pouvoir à un homme malade. 53% de zozos ont mis ce pays dans une boue toxique.
Gildan,
c'était pareil à la télé, en somme?
Toff,
tant mieux si nous sommes d'accord. Pour les 50 commentaires, tu es un peu optimiste, ou tu confonds avec PMA…
A2N,
malade n'est sans doute pas le bon terme, mais il y a une inadéquation flagrante entre sa personnalité psychique et une fonction supposée d'arbitrage…
"sans doute par respect de la dimension présidentielle de l'événement" hahahaha !!!
Qui nous dit qu'en dehors des caméras il ne trépigne pas la bave aux commissures ?
Attendons le prochain livre révélations de Carla
" j'ai vécu avec un enragé "
captainhaka,
ce serait en effet conforme au personnage… :-)
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