Coucou, Franchoises et Franchois, vous ne devinerez jamais où je suis! Ah, vous le savez déjà? Par Télé-Nicolas et Le Journal, bien sûr! Je suis étourdie parfois, mais je vais vous le dire quand même, sinon je ne saurais pas quoi écrire sur mon blog impérial. Donc, Nicou the first et moi, nous sommes en Amérique, et savez-vous quoi? Demain nous dînons private chez les Obama.
Et comme me l'a fait remarquer Nicou: «attention, eh! pas dans la salle à manger officielle de the white house, non, mais intou the life intimitate of the big président, pas son bedroum, mais presque…» C'est vous dire tout le chemin que le Bien Aimé Empereur de nos cœurs a parcouru. Vous n'êtes pas au courant de certains détails, parce que l'on ne vous dit pas tout dans Le Journal, par égards diplomatiques, mais ça n'a pas été toujours facile entre mon homme et le président des states.
Au début, mister Obama avait tendance à snober mon Nicou the first, because il trouvait l'Empire franchois trop petit. Pourtant, peu à peu, il s'est rendu compte de la supériorité du Bien Aimé. Quand il perdait de son côté trois élections partielles, Nicolas 1er désignait qui lui plaisait pour siéger à l'Assemblée impériale et à l'Amicale Œuropéenne. Mais je ne vous ferai pas la liste de toutes les occasions où le génie de notre empereur a étincelé aux yeux du monde.
En guise d'exemple unique, je vous rapporterai ce que mon Nicou a raconté ce matin devant un amphithéâtre d'étudiants bourré à craquer. En réponse à une question, comparant l'ampleur des réformes réalisées chez nous depuis son couronnement à l'unique chantier ouvert par l'américain sur la santé, l'Empereur a dit sobrement: «Qu'on change un truc dans un pays où qu'on en foute cinquante en l'air, la pression du populo c'est du pareil au même.» Et il a ajouté avec ce petit air malicieux qui le rend à croquer: «Excusez-moi, mais nous, ça fait belle lurette qu'on a résolu le problème.» Ça c'était envoyé!
À mon avis, il aurait dû préciser que c'est surtout depuis son accession au trône que la santé, est une affaire qui roule dans l'Empire franchois. N'oublions pas que c'est Nicou qui a réorganisé l'hôpital, grâce aux soins à la chaîne et à la fermeture de tous les centres qui ne servaient à rien. C'est lui qui a trouvé le moyen d'empêcher tous les faux malades de coûter si cher au pays en les obligeant à ouvrir sérieusement leur porte-monnaie… Mais je bavarde, je bavarde, et l'aiguille tourne sur ma Rogex! Je dois vous quitter, car nous avons un drink à l'ambassade dans vingt minutes à peine. À bientôt, mes amis, et vive Nicolas 1er!
P-S, après avoir bataillé en vain avec blogger pour insérer l'illustration de ce billet, j'ai renoncé à faire des liens vers mes lectures du jour…
Et comme me l'a fait remarquer Nicou: «attention, eh! pas dans la salle à manger officielle de the white house, non, mais intou the life intimitate of the big président, pas son bedroum, mais presque…» C'est vous dire tout le chemin que le Bien Aimé Empereur de nos cœurs a parcouru. Vous n'êtes pas au courant de certains détails, parce que l'on ne vous dit pas tout dans Le Journal, par égards diplomatiques, mais ça n'a pas été toujours facile entre mon homme et le président des states.
Au début, mister Obama avait tendance à snober mon Nicou the first, because il trouvait l'Empire franchois trop petit. Pourtant, peu à peu, il s'est rendu compte de la supériorité du Bien Aimé. Quand il perdait de son côté trois élections partielles, Nicolas 1er désignait qui lui plaisait pour siéger à l'Assemblée impériale et à l'Amicale Œuropéenne. Mais je ne vous ferai pas la liste de toutes les occasions où le génie de notre empereur a étincelé aux yeux du monde.
En guise d'exemple unique, je vous rapporterai ce que mon Nicou a raconté ce matin devant un amphithéâtre d'étudiants bourré à craquer. En réponse à une question, comparant l'ampleur des réformes réalisées chez nous depuis son couronnement à l'unique chantier ouvert par l'américain sur la santé, l'Empereur a dit sobrement: «Qu'on change un truc dans un pays où qu'on en foute cinquante en l'air, la pression du populo c'est du pareil au même.» Et il a ajouté avec ce petit air malicieux qui le rend à croquer: «Excusez-moi, mais nous, ça fait belle lurette qu'on a résolu le problème.» Ça c'était envoyé!
À mon avis, il aurait dû préciser que c'est surtout depuis son accession au trône que la santé, est une affaire qui roule dans l'Empire franchois. N'oublions pas que c'est Nicou qui a réorganisé l'hôpital, grâce aux soins à la chaîne et à la fermeture de tous les centres qui ne servaient à rien. C'est lui qui a trouvé le moyen d'empêcher tous les faux malades de coûter si cher au pays en les obligeant à ouvrir sérieusement leur porte-monnaie… Mais je bavarde, je bavarde, et l'aiguille tourne sur ma Rogex! Je dois vous quitter, car nous avons un drink à l'ambassade dans vingt minutes à peine. À bientôt, mes amis, et vive Nicolas 1er!
P-S, après avoir bataillé en vain avec blogger pour insérer l'illustration de ce billet, j'ai renoncé à faire des liens vers mes lectures du jour…
16 commentaires:
Merci de donner de vos nouvelles, Lala!
J'avais cru entendre que votre bien aimé donnait des "cours de prétention", je vois que c'est exact !
oh ! Quel homme !
Ne vous rendez pas malade chez l'ambassadeur! Ça serait dommage de rater la par(ty) de demain.
See you
Pas de liens vers tes lectures du jour : bon, ben on va lire ton billet alors !
Gildan, Sa Gracieuse Majesté Impériale vous remercie et note votre enthousiasme. Bien à vous.
Mtislav, j'ai cru devenir dingue en n'arrivant pas à insérer mon illustration. Je crois que Picassa est H.S. Du coup, énervé, j'ai cliqué sur publier sans réfléchir…
Cela fait presque deux mois que j'utilise la plate forme, et c'est la première fois que cela m'arrive.
J'ai presque cassé mon ordi...
Je comprends maintenant que blogger pète les plombs de temps en temps, et que ce n'était pas mon ordi...
De temps en temps seulement, rassure moi !?!
Gildan, il me semble avoir eu des bugs sur blogger à deux reprises seulement (mis à part des interruptions de service signalées, mais qui n'arrivent plus depuis pas mal de temps)… Par contre, si on ajoute les bugs gmail, twitter, et autres…, la fréquence augmente…
Pour moi, picasa et blogger, c'est pire: la quasi totalité des images a disparu de mon blog!
Heureusement Lala va m'arranger ça!
Ah! Lala! Plus d'image nulle part, ce soir...sauf en Amérique, sans doute!
@Hermes
Idem ! Les 2/3 de mes photos avaient disparu...Des petits carrés blancs à la place.
J'ai tout arrêté, j'ai lu pendant 2 heures, "Le Prince" (Machiavel)...Je viens de me reconnecter : les images sont revenues !
Va savoir !!!
;^)
Je suis allé voir sur le site officiel whitehouse.gov et effectivement on ne nous dit pas tout. Là-bas, ils sont même très discrets sur la visite de Notre Empereur, sans doute afin d'éviter de trop grande scène de liesse populeuse !
:-))
Hermes, tu vois Nicou the first est grand et Lala est sa prophète: tu as été entendu, tout marche ce matin!
M.Poireau, c'est probablement ça, tu dois dire juste. Les mesures de sécurité aux USA sont draconiennes. Depuis qu'ils savent que Nicolas 1er arrive, plus personne ne ferme l'œil au FBI, à la CIA, comme au WWF, l'UMP, l'UUU, au TGV, etc.
Houps, Epamin', je t'ai oubliée! Je n'ai pas vu que c'était la même chose sur tous les blocs… Ça me semble humain: quand la poisse arrive, on se sent élu, visé personnellement, et on ne pense même pas à regarder ce qui se passe ailleurs…
Qu'est-ce que vous foutez avec Picasa ? Il y a parfois des bugs. Ce n'est pas avec l'empereur que ça arriverait !
Nicolas, tu crois? Moi, je soupçonnais que c'était un coup de l'Empereur.
Ah zut, tu allais faire un lien vers mon blog. C'est ballot...
:)
Tu avais parlé du sujet. Le Monde en parle aussi:
http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/03/30/big-bang-en-sous-sol_1326131_3244.html#xtor=AL-32280184
Ferocias, dans le mille! C'était justement mon intention.
(je me suis abonné au CERN sur Twitter pour suivre cette journée cruciale)
Enregistrer un commentaire