Notre sénateur, Pierre-Yves Colombat, a co-signé, le 24 Avril, un article fort intéressant qu'on peut lire sur le site du Monde : «Socialistes, au travail !» Cet article est associé à un Appel au P.S., où l'on trouve un inventaire des sujets à approfondir d'urgence, si ce parti se décide enfin à épouser les préoccupations des français. En tête des chantiers à ouvrir arrive ainsi la construction d'un nouveau contrat social.
Bravo ! Il y a urgence en effet sur ce point aussi, mais l'on aimerait que les techniciens de la politique qui plancheront sur la question prennent impérativement en compte les véritables aspirations du peuple. Je l'ai déjà dit, un sourd, mais incontournable rejet des hiérarchies nous habite, qui va de pair avec le désir d'une redéfinition de la souveraineté populaire. Évidemment, ce n'est pas simple, mais après tout c'est à eux, les praticiens et praticiennes de la politique, d'inventer l'avenir ! Nous nous estimons, trop souvent à juste titre, mal représentés. Nous sommes un peuple majeur, nous pouvons accepter ou rejeter des lois par voie référendaire aussi souvent que cela serait nécessaire, comme nos voisins suisses. Et cela coûterait nettement moins cher au pays puisque, dans cette optique, l'une ou l'autre des deux chambres du parlement, totalement inutile, devrait disparaître.
Bien entendu, on va crier à la naïveté chez les caciques du P.S. et les affamés de pouvoir qu'une simple redistribution des postes intéresse —tous ces gens dont la seule réapparition du nom sur une liste électorale constituerait un repoussoir. Pourtant, le citoyen ordinaire que je suis attend (et non pas : espère) quelque chose de ce genre pour demain. Croyez-vous que je sois le seul ?
Bravo ! Il y a urgence en effet sur ce point aussi, mais l'on aimerait que les techniciens de la politique qui plancheront sur la question prennent impérativement en compte les véritables aspirations du peuple. Je l'ai déjà dit, un sourd, mais incontournable rejet des hiérarchies nous habite, qui va de pair avec le désir d'une redéfinition de la souveraineté populaire. Évidemment, ce n'est pas simple, mais après tout c'est à eux, les praticiens et praticiennes de la politique, d'inventer l'avenir ! Nous nous estimons, trop souvent à juste titre, mal représentés. Nous sommes un peuple majeur, nous pouvons accepter ou rejeter des lois par voie référendaire aussi souvent que cela serait nécessaire, comme nos voisins suisses. Et cela coûterait nettement moins cher au pays puisque, dans cette optique, l'une ou l'autre des deux chambres du parlement, totalement inutile, devrait disparaître.
Bien entendu, on va crier à la naïveté chez les caciques du P.S. et les affamés de pouvoir qu'une simple redistribution des postes intéresse —tous ces gens dont la seule réapparition du nom sur une liste électorale constituerait un repoussoir. Pourtant, le citoyen ordinaire que je suis attend (et non pas : espère) quelque chose de ce genre pour demain. Croyez-vous que je sois le seul ?
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