dimanche 27 avril 2008

Vaccin curatif anti-franchises, rappel !

Vous hésitez encore à signer la pétition contre les franchises ? Parce qu'un tout petit geste d'engagement vous effraye ? Rappelez-vous qu'en ce moment, un homme atteint du sida ne se soigne plus depuis des mois en signe de protestation contre ce coup-bas de Sarkosy. Il se bat aussi pour vous, Bruno-Pascal Chevalier. Signez pour lui, signez pour vous !
Vous ne voulez pas signer parce qu'un monde voué au chacun pour soi ne vous fait pas peur ? Dommage, ce message n'était pas pour vous.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Bien Cher Jean Louis,

Votre Blog qui comporte aussi des sujets généraux (et pas seulement locaux) dégage une tonalité et une sensibilité que je partage souvent, comme vous notre président actuel ne me plait guère, je pense même que son élection constitue une erreur quasi historique.

Sur les franchises ma position est que le malades français font partie des "privilégiés" qui ont accès aux soins, qui plus est à des soins de qualité alors que ma foi en Afrique par exemple ou encore je ne sais en Amérique du Sud, il ne viendrait pas à l'idée à un gamin atteint d'une maladie de se priver d'un traitement tout simplement parcequ'il ne dispose pas de ce traitement.

S'il doit être une priorité c'est de faire en sorte que ces gamins puissent se soigner.

Le coucou a dit…

Je n'ai pas vraiment le temps de vous répondre que nous ne vivons pas en Afrique et que nos pères se sont durement battus pour notre solidarité. Il me semble l'avoir déjà dit quelque part sur le blog.
J'y reviendrai à l'occasion… JLF

Anonyme a dit…

Concernant le déficit de la sécurité sociale il faut en connaitre l'origine en fait ce déficit n'existe pas...
il s'agit d'un faux débat voir les sites concernés...
on veut instaurer en france un systéle à l'américaine, le fond du probléme lorsqu'il est d'ordre économique et donc politique, une question à se poser est-ce que la france ou les autres pays sont-ils riches... les plus grandes fortures sont entre une minorité de personnes cherchez l'erreur.