mardi 20 mai 2008

À mes adversaires anonymes

Il est facile de m'attaquer en vous abritant derrière un anonymat peu glorieux —lequel vous sert de surcroît de me reprocher, sans gêne, mon agressivité. Mais qui êtes-vous, donneurs de leçons que je côtoie certainement au village en ignorant que je salue des adversaires hostiles ?

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Anonyme et pourquoi?
Claviers est un petit village bien différent des endroits que j'ai connu auparavant.
Voitures rayées sans cesse... alors tout simplement, je n'ai pas envie que quelques mal-intentionnés saccagent mes bien.
C'est l'unique raison!
N'ayez crainte, au village je ne vous côtoie certainement pas, je ne suis pas adversaire hostile mais adversaire réaliste.
De plus, je vous ai aperçu une seule fois, très virulant, à l'election du maire.
Vous devriez remercier ce nouveau Maire qui vous permêt un mode d'expression qui sans lui, n'aurait pas exister.

ZEN

Anonyme a dit…

Je ne comprends pas les insinuations de votre dernière phrase.

Anonyme a dit…

voitures rayées?

sachez monsieur que la seule personne que je connaisse qui raye les voitures et qui crève les pneus est un fervent admirateur du nouveau maire alors rien à craindre .
Maintenant si vous trouvez que Claviers est bien différent des villages que vous avez connu surtout ne vous génez pour aller voir ailleurs car c'est certainement à cause de personne comme vous que l'atmosphère n'y est plus aussi légère. qu'auparavent.

Anonyme a dit…

"Vous devriez remercier ce nouveau Maire qui vous permêt un mode d'expression qui sans lui, n'aurait pas exister."
ça, c'est le sophisme de l'année!
Et surtout merci aux piqures de moustique qui permettent de nous gratter.

Anonyme a dit…

Comment suggérer de remercier le maire de la situation actuelle qui nous permet, selon vous, de nous exprimer?..
J'en reste pantoise!!
S'il n'avait pas trahi nous n'aurions pas à nous plaindre et le village aurait toujours le charme que je lui connais depuis 30 ans et dont j'étais si fière.
D'ailleurs je ne peux pas comprendre qu'on accepte d'être gouverné par une équipe composée de gens qui soit ont trahi soit ont accepté la trahison.
Je n'ai aucun respect pour la trahison et ma fierté d'être clavésienne en a pris un coup.